Mythe ou réalité?
Une personne ne peut légalement consentir à être exploitée dans une situation de traite des êtres humains en vertu du Code Criminel du Canada.
RÉALITÉ : Au Canada, le consentement ou la permission d'une victime ne constitue en aucun cas une défense recevable contre une accusation de traite de personnes. En vertu du Code criminel canadien, personne ne peut légalement consentir à être exploité. Si les victimes de la traite ont initialement consenti à des actes ayant mené à leur exploitation, ce consentement a été rendu inopérant par les actions coercitives, trompeuses ou abusives des trafiquants.
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